Deux années en arrière, à SOMONE on pouvait se promener en pleine nature .
Aujourd’hui les charretiers vident leur contenu d’ordures sur le bord de la route en latérite, sur la piste des charrettes. Les charretiers ne prennent pas la peine d’aller à la décharge, un peu plus loin. Lorsque l’on passe à la hauteur de ces poubelles, qui quelque fois ont été brûlées, il s’y dégage une odeur repoussante, surtout en temps de vent.
Sur pratiquement tous les bords de chemin de la Somone, c’est pareil. En se promenant, on trouve des sacs de poubelle jetés, ensuite éventrés par les animaux divaguants, et le vent disperse aux quatre coins les ordures.
Un autre regard sur le Sénégal .
Cathy
Encore plus grave: lorsqu’un toubab met ses gravats sur le chemin contre une clôture, avec pots de peinture vides, tubes de mastic, bouteilles kirene usagées. Je lui fais la remarque, il ramasse le plastique. Je râle une seconde fois, il ramasse les pots de peinture. Et le lendemain, il met les débris de sa table de verre et ça sur le passage des écoliers!
Cathy
Oui nous l’avons aussi constaté; nous avons nettoyé nous-mêmes et fait nettoyer des espaces publics parce que c’était, comme décrit par Cathy, insupportable. Mais c’est un puits sans fond ! Le long de la lagune, les ordures restent depuis des mois.
Quel dommage dans ce beau paysage et dans notre belle ville !
Anne
Bonjour et merci pour cette information mais, quand tu vois certaines rue du village, il ne faut pas être surpris des extérieur de la commune .
Ce qui est désolant, c’est une seule personne en colère.
Quand va-t-on mettre des poubelles dans les rues ?
Il faut arrêter de jeter tout à l’extérieur, responsabiliser tout le monde, enfants adultes et bien sûr nos amis charretiers.
Il y a les éboueurs. A la municipalité de jouer. Que toute personne responsable prenne conscience du problème pour préserver ce village et cette lagune, et aussi la santé de chacun.